Samedi, j'ai rencontré une porte vitrée. C'est un fait rare qui mérite d'être souligné car à l'instar des ministres du gouvernement face à des lois environnementales, une porte vitrée s'efface toujours très discrètement à votre approche.
Samedi, telle Nathalie Kosciusko-Morizet, la porte a vaillamment fait face à la situation et a provoqué une confrontation sans concession entre mon élégant nez aquilin et un objet dont la trop parfaite transparence aurait du m'inciter à la vigilance.
Samedi après-mid, aux urgences, j'imaginais qu'après mes coups de téléphone Daffy Duck (voir vieil épisode de ce blog pourtant nouveau-nez ha ha ha), les KKK (Komissions Konsultatives Korruptibles) qui allaient m'auditionner penseraient à juste titre que le plâtre de mon nez cachait peut-être une difformité canardesque et que cet artifice pour planquer mon bec était dénoncé par une voix nasillarde due aux nombreuses contusions qui occupent désormais mes douloureux nasaux. La campagne 2008 est-elle placée sous la malédiction du canard?
Mardi matin, après examen attentif dans un miroir, il semblerait plus probable que mon cas relève davantage des conséquences d'une nuit partouzienne, orgiaque et psychédélique entre la schtroumpfette, un chiot boxer et Marcel Cerdan (au temps où il pouvait encore avoir une vie orgiaque).
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